🦖 Comme Un Feu Dévorant Renfermé Dans Mes Os

Malgrécela, les prophètes ne pouvaient se retenir, car un feu divin brûlait dans leurs entrailles ! "Si je dis : Je ne ferai plus mention de lui, je ne parlerai plus en son nom, il y a dans mon cœur comme un feu dévorant qui est renfermé dans mes os. Je m'efforce de le contenir, et je ne le puis" (Jérémie 20 : 9). Sije dis: Je ne ferai plus mention de lui, Je ne parlerai plus en son nom, Il y a dans mon coeur comme un feu dévorant Qui est renfermé dans mes os. Je m'efforce de le contenir, et je ne le puis. 20.10 Car j'apprends les mauvais propos de plusieurs, L'épouvante qui règne à l'entour: Accusez-le, et nous l'accuserons! Tous ceux qui étaient Pendantmes trente années de vie avec Yeshua, j'ai passé des moments difficiles tout comme Jérémie a pu en avoir : "Si je dis: Je ne ferai plus [] mention de lui, Je ne parlerai [] plus en son nom, Il y a dans mon coeur comme un feu dévorant Qui est renfermé dans mes os. trumpetofsalvation.com. trumpetofsalvation.com. Während meinen 30 Jahren in der Nachfolge NOTRERESPONSABILITÉ CONCERNANT. LA VÉRITÉ PRÉSENTE « Elle [la Parole de l’Eternel] a été dans mon cœur comme un feu brûlant, renfermé dans mes os ; et je fus las de la retenir, et je ne l’ai pu. » - Jérémie 20 : 9 - Darby. Le prophète Jérémie utilise ici une très forte comparaison. Il avait un zèle ardent dans son cœur, un sentiment dévorant de l'importance du message Sije dis : Je ne ferai plus mention de lui, Je ne parlerai plus en son nom, Il y a dans mon coeur comme un feu dévorant Qui est renfermé dans mes os. Je m'efforce de le contenir, et je ne le puis. Jérémie 20:9. () Je vous le dis, s'ils se taisent, Le23 octobre : Comme un feu dévorant renfermé dans mes os. Le 4 décembre : Eurydice. Le 1er janvier : Cendrillon. Le 29 janvier : Rigoletto. Le 12 mars : Ariane à Naxos. Le 26 mars : Don Carlos. Le 7 mai : Turandot. Le 21 mai : Lucia Di Lammermoor. Le 4 juin : Hamlet. La saison de la Comédie-Française : Unautre grand prophète, Jérémie, s’écrie: Si je dis, je ne ferai plus mention de Lui, je ne parlerai plus en Son nom, il y a dans mon cœur comme un feu dévorant qui est renfermé dans mes os. Jérémie 20,9. Tout vrai homme de Dieu est un homme de passion. Il a la passion des choses de Dieu. Il a la passion des âmes. Il désire le Lefeu s'éteignit, un jour bleuâtre et velouté vint le remplacer: Il me semblait que je nageais dans une lumière limpide et douce, suave comme un pâle reflet de la Lune dans une belle nuit d'été. et, voilà que du point le plus éloigné, accourent à moi, vaporeuses, aëriennes comme un essaim de papillons dorés, des myriades infinies de jeunes filles nues, éblouissantes de 9Si je dis: Je ne ferai plus mention de lui, Je ne parlerai plus en son nom, Il y a dans mon coeur comme un feu dévorant Qui est renfermé dans mes os. Je m'efforce de le contenir, et je ne le puis. 10 Car j'apprends les mauvais propos de plusieurs, L'épouvante qui règne à l'entour: Accusez-le, et nous l'accuserons! Tous ceux qui étaient en paix avec moi Observent si je Lesséances de Comme un feu dévorant renfermé dans mes os (Fire shut up in my bones | Metropolitan Opera) (2021) au Cinéma Reims - Opéraims Cinéma Reims - COMMEUN FEU DÉVORANT RENFERMÉ DANS MES OS (FIRE SHUT UP IN MY BONES) INÉDIT 21155 EURYDICE INÉDIT 03h03 CENDRILLON lh47 RIGOLETTO INÉDIT 3h26 ARIANE À NAXOS INÉDIT 3h04 DON CARLOS INÉDIT TURANDOT 31126 LUCIA DI LAMMERMOOR INÉDIT 3h44 HAMLET INÉDIT 3h34 -20 Musique Modeste Moussorgski Terence Blanchard Matthew Aucoin Recevoircomme un chien dans un jeu de quilles: le chien révèle à une femme le secret du feu en frottant une liane de sa queue. Enfin, dans un mythe des îles Carolines, le feu est remis à une femme par le dieu du Tonnerre, qui lui apparaît sous forme de chien. Ce dernier exemple montre clairement l'oscillation du symbole entre les domaines chtonien et ouranien, Cecise manifeste par un désir profond qui brûle comme un feu au dedans de nous, Comme le prophète Jérémie l’a expérimenté dans Jérémie 20.9 (LSG): « Si je dis: Je ne ferai plus mention de Lui, je ne parlerai plus en Son nom, il y a dans mon cœur comme un feu dévorant qui est renfermé dans mes os. Je m’efforce de le contenir Unfeu dévorant “Si je dis: Je ne ferai plus mention de lui, Je ne parlerai plus en son nom, Il y a dans mon coeur comme un feu dévorant Qui est renfermé dans mes os. Je m’efforce de le contenir, et je ne le puis.” (Jérémie 20:9 LSG) Pauvre Jérémie penser une minute qu'il peut, ne plus faire de mention de l'Éternel, ne plus parlé en son nom. Jérémie rêve en couleur, Explorezl'art lyrique dans toute sa variété, du bel canto aux influences du jazz, à travers dix spectacles présentés en direct du Metropolitan Opera de New York au cinéma. Cette programmation éclectique promeut à la fois des opéras inédits de compositeurs contemporains – Comme un feu dévorant renfermé dans mes os (Fire shut up in my bones) de Terence JRlYndh. SUBSCRIBE NOW to get Ministry updates and personalized content on our sites. Respectivement représentées à la Monnaie de Bruxelles en septembre et au Metropolitan Opera de New York en octobre, les deux œuvres engagées dans la défense des droits des Afro-américains traduisent la volonté des institutions de s’ouvrir à la diversité sociale et ethnique de nos sociétés. Aux États-Unis comme en Europe, les ondes de choc du mouvement Black Lives Matter, relancé au printemps 2020 par le meurtre de George Floyd, n’épargnent pas le monde de l’opéra, sévèrement mis en cause pour son conservatisme, ses réflexes discriminatoires, et son incapacité à rendre justice à la diversité sociale et ethnique de nos sociétés — effectivement peu flagrante quand on examine le public, les interprètes et les créateurs des grandes productions lyriques. Conscientes du risque qu’il y aurait à laisser penser, comme l’affirment les plus radicaux, que l’art qu’elles défendent serait intrinsèquement raciste, les institutions cherchent à se réformer. Sans se concerter, le Metropolitan Opera, à New York, et le Théâtre de la Monnaie, à Bruxelles, viennent de tester une stratégie des plus constructives, puisqu’il s’agit d’enrichir le répertoire. À la mi-septembre, la Monnaie a lancé sa saison avec The Time of Our Singing, de Kris Defoort, adaptation du beau roman éponyme de Richard Powers sur le mouvement des droits civiques Le Temps où nous chantions, éd. 10-18 — les représentations sont terminées, mais on peut désormais re voir l’opéra sur YouTube. Début octobre, le Met rouvrait en fanfare, après dix-huit mois de fermeture, avec Fire Shut Up in My Bones Comme un feu dévorant renfermé dans mes os », deuxième opéra du compositeur et trompettiste jazz Terence Blanchard — et première œuvre lyrique composée par un Afro-Américain jamais montée au Met en 138 ans d’histoire. Fire Shut Up In My Bones, de Terence Blanchard. Photo Ken Howard / Met Opera L’ayant repérée dès 2019 lors de sa création mondiale à l’Opéra-Théâtre de Saint-Louis Missouri, Peter Gelb, directeur du Metropolitan Opera, pensait d’abord la reprendre en 2023, et pas forcément dans la prestigieuse salle du Lincoln Center. C’est là, pourtant, qu’elle vient d’être donnée, remplissant tous les soirs les 3 800 places disponibles, avant de s’ouvrir au monde entier samedi 23 octobre grâce à la retransmission en direct, au cinéma, de l’ultime représentation. On a découvert ainsi, dans la grande salle parisienne du Gaumont Les Fauvettes, un opéra de bonne facture, certes joué par un cast vocal entièrement afro-américain à l’instar de Terence Blanchard, de la librettiste Kasi Lemmons, de la chorégraphe Camille A. Brown, et du journaliste Charles M. Blow, dont le récit autobiographique a nourri le livret, mais, première surprise, renvoyant les spectateurs à une actualité tristement universelle et colour-blind tout au long des trois actes, le héros, benjamin sensible et solitaire d’une fratrie de cinq garçons, tente de surmonter le traumatisme d’un viol subi à l’âge de 7 ans, commis en toute impunité par un cousin plus âgé. Comme l’expliquait à l’entracte la soprano Latonia Moore l’interprète de Billie, mère-courage de Charles, il ne s’agissait certes pas d’une black story » mais d’un drame susceptible de toucher n’importe qui. Seconde surprise, s’il y a bien un jazz-band dans la fosse, alternant ou fusionnant avec l’orchestre de la maison sous la baguette de Yannick Nézet-Séguin, si l’on entend du gospel quand Charles cherche son salut dans la religion, et si son entrée à l’université nous vaut une étourdissante séquence de stepdance, la forme de l’œuvre, avec airs, grand chœur et ballet, est des plus traditionnelles, et revendique plus l’esprit du vérisme italien de la fin du XIXe siècle que celui d’une quelconque avant-garde. Au centre d’un plateau vocal remarquable, la soprano Angel Blue, dont on a tellement aimé la Tosca aixoise en 2019 et qu’on retrouvera dans Faust, à l’Opéra de Paris, en juin 2022, le baryton Will Liverman, au timbre velouté, et la vaillante Latonia Moore sont secondés par un jeune sopraniste très doué, Walter Russell III, qui incarne la version enfantine du héros. L’une des plus belles idées de Terence Blanchard, valorisée par la mise en scène de James Robinson, étant de mêler plus d’une fois la voix de l’enfant, affamé d’amour et d’attention, à celle de l’adulte, dévoré par la honte et la culpabilité. Pas ou peu de politique dans cette approche intimiste et émouvante. L’histoire se déroule dans une communauté qui semble vivre, par la force des circonstances, en circuit fermé, et subir un quotidien tellement écrasant qu’il laisse peu de place pour la révolte. The Time of Our Singing, de Kris Defoort. Photo Bernd Uhlig La contestation, la rage, l’engagement politique et social, ce n’est pas à New York mais à Bruxelles qu’on les retrouve comme le roman dont il s’inspire publié cinq ans avant l’élection de Barack Obama, The Time of Our Singing déroule cinquante ans d’histoire américaine en suivant le destin de trois jeunes gens qui ne sont ni noirs, ni blancs. Leurs parents, David Strom Simon Bailey, jeune scientifique blanc et juif, chassé d’Allemagne par le nazisme, et Delia Daley Claron McFadden, chanteuse lyrique en devenir, issue de la bourgeoisie noire de Philadelphie, se rencontrent en 1939 au mythique concert donné par la contralto Marian Anderson sur les marches du Lincoln Memorial. Mariés à une époque où les unions mixtes sont mal vues au nord et interdites par le sud ségrégationniste, David et Delia voudront élever leurs trois enfants, grâce à la musique, au-delà de la couleur, au-delà de la race ». Un rêve qui tournera plus d’une fois au cauchemar Jonah Levy Sekgapane, ténor surdoué, se réfugie dans le chant lyrique mais devra partir en Europe pour faire carrière, Ruth Abigail Abraham, la benjamine, se jettera à corps perdu, côté Black Panthers, dans la lutte pour les droits civiques, et Joey Peter Brathwaite, tiraillé entre son aîné et leur cadette, s’efforcera de garantir l’unité familiale envers et contre tout. Kris Defoort et son librettiste Peter van Kraaij déroulent la saga des Strom de manière limpide, suivant un fil chronologique où la grande histoire rejoint la petite la mort de Delia dans un incendie supposément accidentel, les émeutes de Watts, l’assassinat de Martin Luther King, la mort brutale du mari de Ruth après son interpellation par deux policiers, le tabassage de Rodney King et les émeutes qui s’ensuivent… La sobre mise en scène de Ted Huffman fait évoluer les chanteurs de manière très fluide entre un piano droit, des tables infiniment modulables, quelques chaises, et un écran où sont projetées des dates et des images d’actualité. Quant à la partition, jouée par l’Orchestre de chambre de la Monnaie et par un ensemble de jazz l’opéra commence et finit par un mélancolique solo de saxophone, elle épouse étroitement les faits, gestes et états d’âme des personnages. Pour la composer, Kris Defoort n’a pas eu à chercher très loin l’inspiration. Le roman, polyphonique, débordait déjà de toutes sortes de musiques, faisant écho au caractère éclectique de son propre parcours de musicien passé par la musique ancienne, le jazz et le contemporain. Il y a des références à Bach, Purcell, Schubert, mais aussi du rock, du rap et de la soul dans la partition de The Time of Our Singing, où la musique divise autant qu’elle réunit — comme son grand-père, Ruth se défie de cette white music » vénérée par ses frères et ses parents —, et le cast vocal, formidable, navigue avec souplesse entre les différentes esthétiques, qui coexistent en bonne intelligence sous la baguette passionnée du chef Kwamé Ryan. Anecdote un peu triste mais significative de la complexité des débats en cours le coproducteur américain de The Time of Our Singing a quitté le projet en cours de route, l’équipe artistique étant considérée comme trop blanche ». On espère pour notre part que les deux opéras, celui de Terence Blanchard et celui de Kris Defoort feront leur chemin sur d’autres scènes, et amèneront d’autres compositeurs et compositrices à empoigner, à leur tour, des thématiques qui concernent toute l’humanité. Nathalie Stutzmann prend la tête de l’Orchestre symphonique d’Atlanta Sophie Bourdais 1 minute à lire Black lives matter Viva l'Aria, la chronique lyrique de Sophie Bourdais Art lyrique Musique classique Terence Blanchard Kris Defoort Richard Powers Partager Contribuer Culturebox. Verdi Simon Boccanegra, le 23 juin 2022, 20h30 – Nouvelle production en direct de l’Opéra Royal de Wallonie-Liège. Dans le sillon des dramaturges qui l’ont inspiré et qu’il a mis en musique, Shakespeare et Schiller principalement, Verdi aime les héros forts mais qui doutent ; ainsi le rôle du baryton [pour le coup dit baryton Verdi »], qui cristallise les évolutions voire le parcours psychologique, ses vertiges, ses ruptures… de chaque protagoniste. Boccanegra recueille le travail de Verdi dans les opéras précédents en particulier concernant les rôles de barytons devenus emblématiques Stiffelio, Rigoletto, Germont La Traviata, et donc surtout Le doge Boccanegra, qui précède Falstaff, l’ultime drame verdien encore un baryton délirant, entre panache et sincérité. Baryton Verdi, baryton vérité Corsaire devenu doge de Gênes au XIV ème siècle, grâce à l’appui de quelque soutien qui le lui rappelleront bien, Simon Bocanegra veut rester fidèle à ses valeurs humanistes mises à mal par l’exercice du pouvoir et la pression des tractations politiques ; il est au centre des querelles et souvent un arbitre démuni entre patriciens et plébéiens. Sur ce fond social et politique, Verdi développe avec son dernier librettiste Boito collaborateur pour la dernière version resserrée d’après la pièce de Guttierez, une intrigue individuelle au moment de son élection, Simon Boccanegra apprend la mort de sa maîtresse Maria, dont il a une fille hors mariage, laquelle lui a été enlevée. La rivalité et la haine entre l’ancien et le nouveau doge sont attisées par un conflit social et ce drame familial. Après le prologue [qui a valeur de tableau d'exposition des personnages], 25 ans ont passé Simon Boccanegra retrouve sa fille, Amalia ; la jeune femme aime Adorno, jeune ennemi du Doge. Simon pacifiste, humaniste envisage toujours le bénéfice de faire la paix avec Jacopo Fiesco, le père de Maria, qui a juré vengeance. Au terme de rebondissements, les ennemis jurés sont réconciliés ; le traître, puni, et l’amour des enfants triomphe. Belle vision optimiste d’un Verdi lui-même foudroyé dans sa vie personnelle par une tragédie familiale. Mais Simon Boccanegra, père attendri voire bouleversant [proche en cela de Rigoletto] et politique ferme et lumineux, paiera dans sa chair, la résolution du drame familial qui le dévoré, et la pratique du pouvoir. Ses duos avec les basses rappellent aussi la confrontation de Philippe II avec l’inquisiteur [dans l’opéra Don Carlo]. L’homme de pouvoir est un solitaire qui souffre… À travers le rôle du baryton et les défis qui l’éprouvent, Verdi fixe les soubresauts politiques de l’Italie contemporaine, jeune nation en quête d’unité nationale et se cherche des héros capable de porter le destin national. ______________________________ Giuseppe Verdi Simon Boccanegra Livret de Francesco Maria Piave, Arrigo Boito d’après une pièce de Gutierrez Chanteurs George Petean Simon Boccanegra, Federica Lombardi Amelia Boccanegra, Riccardo Zanellato Jacopo Fiesco, Marc Laho Gabriele Adorno, Lionel Lhote Paolo Albiani, Roger Joakim Pietro, Xavier Petithan Un capitano dei Ballestri, Anne-Françoise Lecoq Un’ancella di Amelia Mise en scène Laurence Dale Décors Gary Mc Cann Orchestre et chœurs de l’Opéra Royal de Wallonie-Liège Chef des chœurs Denis Segond avec la participation de l’IMEP Direction musicale Speranza Scappucci ______________________________ VOIR Simon Boccanegra en DIRECT le 23 juin puis en REPLAY Ce programme est disponible 12 mois, à partir du 23 juin 2022 sur jusq’23 juin 2023 Simon Boccanegra » de Giuseppe Verdi en direct de l’Opéra Royal de Wallonie-Liège Opéra en un prologue et trois actes Durée totale 160 min Première partie 1h30 min Entracte 30 min Deuxième partie 1h10 min La prédication au CELR de Villiers-le-Bel n’est pas un exercice de style… ni un show visant à attirer l’attention ; elle est l’expression d’un zèle poussé par le Saint Esprit à parler de la part de Dieu… La Bible dit dans Jérémie 20 9 – Si je dis Je ne ferai plus mention de lui, Je ne parlerai plus en son nom, Il y a dans mon cœur comme un feu dévorant Qui est renfermé dans mes os. Je m’efforce de le contenir, et je ne le puis… Ce feu dévorant, c’est notre passion pour les âmes, notre amour pour la Parole de Dieu. Car il a plu à Dieu de sauver les croyants par la folie de la prédication 1 Corinthiens 1 21, le monde aujourd’hui a plus que jamais besoin d’entendre la Parole de Dieu. Mais comment en entendront-ils parler, s’il n’y a personne qui prêche ? Romains 10 14 Tel est notre défi…

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